A l’instar des réseaux informatiques et des réseaux sociaux, les aires marines protégées, mises en place sur un discours de bénéfices pour les communautés humaines locales, sont incitées à se mettre en réseau. Mais de quel réseau parle-t-on ? Quelle est cette trame bleue marine de connectivité, invisible ou presque depuis les satellites, qui permettrait d’optimiser la protection du milieu marin ? A quelles échelles spatiales faudra t’il promouvoir les solidarités écologiques autour de la biodiversité marine ?